Des politiques de santé mentale qui vont au-delà des soins indispensables

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Aller au-delà des soins, c’est penser la santé mentale dans la vraie vie : école, travail, logement, numérique, culture. L’enjeu ? Installer des politiques qui soutiennent durablement les personnes, les proches et les équipes de terrain.

Peu de temps ? Voilà ce qu’il faut retenir :
Agir sur les déterminants (logement, emploi, violences) réduit les crises et renforce l’Équilibre Mental 🧭
Prévenir tôt à l’école et au travail avec des outils simples (ex. micro-pauses, pairs-aidants, Mindance) 🧰
Coordonner soins, social et justice via une stratégie interministérielle stable et financée 💶
Mesurer ce qui compte : délais d’accès, qualité de vie, rétablissement, inclusion 👀

Sommaire

Santé mentale : agir au-delà des soins pour transformer la vie quotidienne

Des plans récents ont relancé la dynamique de repérage précoce, de renforcement des centres médico-psychologiques et du suivi post-crise. Pourtant, une évidence s’impose : la santé mentale se joue autant dans le logement, l’emploi ou l’école que dans les cabinets de consultation. Le message d’un large collectif en 2025 va dans ce sens : passer d’un plan de filière à une stratégie interministérielle pérenne et ambitieuse, comme le rappelle la tribune « Les politiques de santé mentale doivent aller au-delà de l’offre de soins » publiée dans Le Monde.

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Le cadre international pousse dans la même direction. L’OMS demande une transformation profonde des politiques et systèmes, en insistant sur les droits, l’inclusion et les services ancrés dans la communauté : voir les nouvelles orientations 2025 de l’Organisation mondiale de la santé (guidance OMS). En France, la HAS a adopté un programme 2025‑2030 qui met l’accent sur les parcours et la qualité.

Pourquoi agir sur les déterminants sociaux change tout

Logement instable, isolement, discriminations, violences conjugales, précarité énergétique : ces facteurs alimentent la détresse et allongent les convalescences. Les données internationales et les synthèses récentes renforcent ce constat. Un article scientifique disponible sur ScienceDirect souligne combien l’environnement social et urbain façonne la vulnérabilité psychique et les rétablissements.

Concrètement, intégrer des leviers hors soins a un effet immédiat : des équipes mobiles peuvent associer travailleurs sociaux et soignants ; des dispositifs de logement d’abord réduisent les hospitalisations évitables ; des espaces de parole en entreprise limitent l’absentéisme. Les politiques régionales vont en ce sens, comme l’illustre la page de l’ARS sur la politique nationale et ses déclinaisons.

Exemples de leviers concrets à mobiliser

  • 🏠 Logement sécurisé : prioriser les solutions stables après une hospitalisation diminue fortement les rechutes.
  • 👩‍🏫 École outillée : repérage bienveillant, Soutien Mental aux équipes, ateliers d’Harmonie Psychique pour les élèves.
  • 💼 Travail protecteur : droit à la déconnexion, plans retour progressif, apps de support comme Mindance.
  • 🧑‍⚖️ Justice et droits : accompagnements spécifiques pour éviter la rupture de parcours en sortie de détention.
  • 🌳 Ville apaisée : espaces verts, bancs ombragés, parcours « Pleins Sens » pour relier le Cœur et Esprit.

Pour des repères accessibles et concrets, des ressources locales sont publiées sur Infirmier Marseille : comprendre l’importance de la santé mentale et regarder la réalité des hommes face au tabou aide à briser le silence. Cet ancrage de terrain installe une Sereinité utile à tous.

Idée clé : une politique de santé mentale qui s’attaque aux causes sociales et environnementales installe une vraie Résonance entre soins, prévention et vie quotidienne.

Prévenir tôt et partout : école, travail, numérique et espaces publics

La prévention ne se résume pas à une campagne d’affiches. Elle s’invite à l’école, au bureau, dans les transports, sur les réseaux sociaux. Les propositions de la Fondation Jean‑Jaurès listent dix grandes mesures pour faire de la santé mentale une grande cause : éducation émotionnelle, accès rapide, soutien aux proches, lutte contre la stigmatisation.

Cap sur les parcours scolaires : former les encadrants au repérage bienveillant et instaurer des temps « Vitalité Intérieure » hebdomadaires (respiration, mouvement doux) améliore la concentration et diminue la tension de classe. Côté travail, des accords simples (surcharge maîtrisée, réunions plus courtes, pauses sans écran) réduisent l’épuisement et favorisent un Équilibre Mental réaliste.

Outils et méthodes qui fonctionnent au quotidien

  • 📚 À l’école : séances de compétences psychosociales, espaces calmes, médiation par les pairs, liens avec les CMP.
  • 🏢 Au travail : référents « Soutien Mental », micro-pauses guidées avec Mindance, politique claire sur les messageries le soir.
  • 📱 Dans le numérique : modération active, contenus « Bien-Être Total » et campagnes anti-harcèlement.
  • 🚇 Espaces publics : signalétique apaisante, éclairage doux, zones de repos — utile pour les crises d’anxiété.
  • 🧑‍🤝‍🧑 Pairs-aidants : intégration dans les équipes pour renforcer la confiance et l’adhésion.

Les cadres nationaux aident à prioriser. La stratégie nationale rappelle la nécessité de relier prévention, soins et réinsertion, quand la HAS 2025‑2030 pose des objectifs de qualité et d’accès. Pour une lecture historique, utile à la mise en perspective, la revue L’Information psychiatrique en 2020 pointait déjà l’urgence d’un virage communautaire.

Cas pratiques et inspirations locales

Des collectivités structurent des « semaines prévention » avec ateliers sensoriels « Pleins Sens », stands de respiration, balades urbaines. Un exemple à suivre : le format décrit dans notre page dédiée à la semaine de prévention. D’autres territoires programment des activités estivales d’Harmonie Psychique en plein air, à l’image des initiatives estivales recensées sur le site.

  • 🧘 15 minutes de respiration guidée le matin à l’école : baisse de l’impulsivité, attention accrue.
  • 🪑 Postes de repos au travail : 2 x 7 minutes sans écran pour relancer l’énergie.
  • 🗣️ Débriefs de fin de réunion (3 minutes) pour clarifier les décisions et diminuer le stress.
  • 🌿 Parcours nature hebdomadaire « Cœur et Esprit » pour renforcer la Résonance corps-esprit.

Pour explorer d’autres dynamiques nationales, la synthèse « La santé mentale : priorité 2025 » dresse un panorama clair. Et côté coordination locale, les retours d’expérience de coopérations d’agglomération montrent comment tisser des filets de sécurité. Idée clé : prévenir tôt et partout, c’est gagner des années de qualité de vie.

Soins, rétablissement et inclusion : des parcours humains qui tiennent dans la durée

Renforcer les soins reste crucial, mais l’objectif final est le rétablissement et la participation sociale. Les annonces du 11 juin ont réaffirmé l’importance du repérage à l’école, des centres médico-psychologiques (CMP), des équipes mobiles et du suivi post-crise. Ces axes, détaillés par plusieurs médias spécialisés, nécessitent des moyens stables et des partenariats. À lire : le point d’étape « plan de relance de la psychiatrie : 26 mesures… mais avec quel financement ? » qui interroge à juste titre le passage du dire au faire.

Un parcours réussi tient en trois mouvements : accès rapide, soins ajustés, inclusion. Le premier se joue sur les délais d’évaluation ; le second sur la capacité à proposer psychothérapie, médicaments si besoin, activités corporelles et sociales ; le troisième sur l’emploi, la formation, le logement et la culture. Cette « forme de triangle » crée une Résonance utile entre clinique et milieu de vie.

Leviers concrets pour fluidifier les parcours

  • 🚑 Équipes mobiles en binôme soignant/social pour éviter les ruptures et accompagner à domicile.
  • 🏥 Post-crise systématique (J+3, J+10, J+30) : appels, RDV, ajustements thérapeutiques.
  • 🤝 Pairs-aidants intégrés au CMP : témoignages et soutien à l’autogestion.
  • 🎭 Culture et sport-santé : ateliers « Pleins Sens », tai‑chi, chorale — voir les bienfaits du tai‑chi.
  • 💬 Éducation thérapeutique orientée « Vitalité Intérieure » : carnet de crise, repérage des signaux précoces.

Le cadre national soutient ces choix. La feuille de route et le programme HAS 2025‑2030 encouragent des parcours intégrés, centrés sur la personne. Les politiques régionales, relayées par les ARS, permettent d’adapter aux besoins locaux.

Levier 🛠️Impact attendu 🌟Indicateur clé 📊
Accès rapide CMPRéduction des passages à l’urgenceDélai 1er RDV < 10 jours
Suivi post-criseDiminution des réhospitalisationsContacts J+3/J+10/J+30 effectués (%)
Pairs-aidantsAdhésion au projet de soinsTaux de participation aux ateliers
Sport-santéAmélioration sommeil/humeurScore bien-être auto-rapporté

Pour inspirer la mise en œuvre territoriale, on peut consulter des retours d’expérience dans nos rubriques locales : coopérations d’agglomération, organisation d’un centre de santé, ou encore des pistes d’accès à la consultation. Idée clé : penser inclusion et rétablissement dès le premier contact change l’issue du parcours.

Financement, gouvernance et évaluation : passer du plan au changement durable

Sans financement pérenne, les meilleures idées restent des vœux pieux. Le débat public l’a souligné en 2025 : la relance de la psychiatrie doit préciser les budgets, les recrutements et les calendriers, comme le rappelle l’article « 26 mesures… mais avec quel financement ? ». La demande d’une stratégie interministérielle avec gouvernance claire s’appuie sur un large consensus (tribune).

Qui décide, qui paye, qui évalue ? Le trio Santé–Éducation–Travail doit investir ensemble, avec des relais dans le logement, la justice et les collectivités. Les recommandations de l’OMS (transformation urgente) insistent sur les droits humains, la participation des usagers et la proximité. La HAS fournit un cadre d’évaluation : qualité des pratiques, pertinence, sécurité, expérience des personnes.

Ce qu’il faut verrouiller dès maintenant

  • 💶 Budgets pluriannuels dédiés à la prévention, aux équipes mobiles et aux pairs-aidants.
  • 📍 Gouvernance territoriale : comités avec usagers, proches, MDPH, justice, éducation, employeurs.
  • 📊 Tableau de bord public : délais d’accès, temps de crise, qualité de vie, insertion pro.
  • 🧪 Expérimentations : « répit aidants », « logement d’abord psy », « ambulatoire renforcé ».
  • 🧭 Éthique et droits : contrôle des pratiques, lutte contre la stigmatisation, information claire.

L’évaluation doit intégrer des indicateurs de rétablissement, pas seulement des volumes d’actes. Les approches décrites dans des travaux académiques (cf. une revue sur ScienceDirect) plaident pour des mesures orientées vers la vie réelle : logement stable, réseau social, emploi accompagné. Ces orientations résonnent avec la vision ARS, qui encourage l’adaptation aux besoins locaux.

Le débat démocratique reste essentiel. Les pages d’Infirmier Marseille suivent ces échanges, parfois critiques mais nécessaires, sur l’impact des décisions publiques sur la santé ou les tensions politiques relevées, par exemple à l’international (décryptage santé et gouvernance). Idée clé : sans transparence budgétaire, pas de Sereinité pour les équipes ni d’Harmonie Psychique pour les usagers.

Ressources locales et gestes simples pour installer un Équilibre Mental durable

La force d’un territoire, c’est son écosystème. Associations, centres de santé, collectivités, clubs sportifs, bibliothèques : tous peuvent contribuer à une routine de Bien-Être Total. Les initiatives locales ne demandent pas des budgets immenses, mais une coordination et des rituels accessibles à tous. Objectif : cultiver la Vitalité Intérieure et l’alignement Cœur et Esprit.

Gestes concrets à adopter dès cette semaine

  • 🌅 Morning reset 3 x 5 min : respiration, étirements, un verre d’eau — effet rapide sur l’énergie.
  • 🚶 Marche « Pleins Sens » 20 minutes : repérer 5 sons, 5 couleurs, 5 textures pour ancrer l’instant.
  • 📓 Journal de bord : 3 signaux de stress + 3 micro-actions (appeler, marcher, respirer) pour anticiper.
  • 🤝 Binôme d’appui : un collègue ou un proche pour se relancer mutuellement — vrai Soutien Mental.
  • 🕯️ Rituel de clôture 10 minutes le soir : respiration, gratitude, zéro écran.

Les centres de santé et associations locales jouent un rôle pivot. Un exemple d’organisation utile est décrit dans le portrait d’un centre de santé. Pour structurer des campagnes saisonnières, s’inspirer des actions d’été et des formats de semaine de prévention facilite la mise en route.

Aller plus loin avec des partenaires et des outils

  • 🧘 Mouvements doux : tai‑chi, marche, étirements — voir les bienfaits du tai‑chi.
  • 📱 Applications de respiration et focus : Mindance pour des pauses guidées et un ancrage au travail.
  • 🎶 Chorale « Résonance » de quartier : chanter ensemble favorise la cohésion et la détente.
  • 🏷️ Cartes locales des lieux calmes, médiateurs, groupes d’entraide — afficher dans les médiathèques.

Ces gestes, relayés par les structures de proximité, nourrissent un climat de Sereinité et construisent des habitudes qui durent. Pour cadrer les messages, on s’appuie sur des références nationales : dix mesures prioritaires ; priorité nationale 2025 ; et la déclinaison régionale. Idée clé : de petites pratiques quotidiennes font levier si elles s’inscrivent dans une politique locale cohérente.

Action immédiate : planifier aujourd’hui trois micro-pauses « Vitalité Intérieure » et proposer un binôme d’appui à un proche ou un collègue. C’est simple, faisable, et ça change la semaine.

Comment articuler prévention, soins et réinsertion sans perdre personne en route ?

Le défi du « dernier kilomètre » est bien réel : beaucoup de personnes se perdent entre le dépistage, l’orientation, l’accès au soin, puis le retour au travail. Une articulation claire, lisible et suivie dans le temps évite ces décrochages. Les politiques publiques peuvent s’inspirer d’architectures simples, portées par des binômes soigneusement formés et des outils numériques utiles mais non intrusifs.

Les étapes d’un parcours lisible

  • 🔎 Repérage : à l’école et en ville, des messages simples et non stigmatisants.
  • 📞 Orientation : numéro local, portail en ligne, rendez-vous en 10 jours au CMP.
  • 🧩 Plan d’aide : soins, logement, budget, emploi accompagné, pair-aidant dédié.
  • 🔁 Suivi : points réguliers 1 mois, 3 mois, 6 mois, puis espacement.
  • 🌱 Inclusion : reprise progressive, formations courtes, soutien aux aidants.

Des retours d’expériences montrent que des « coordinateurs de parcours » réduisent les délais et les ruptures. L’approche est soutenue par la stratégie nationale et les recommandations de l’OMS (transformation des systèmes). Pour un cadrage réaliste des moyens, l’article de Santé Mentale rappelle l’importance des financements garantis.

Le rôle des communautés locales

Bibliothèques, clubs sportifs, épiceries sociales, maisons de quartier : ces lieux servent de repères et de relais. En les outillant, on capte ceux qui n’osent pas franchir la porte d’un CMP. Des initiatives comme des « cafés soutien » ou des ateliers sensoriels « Pleins Sens » créent des moments d’Harmonie Psychique partagés. Cette maille communautaire est précieuse pour une ville engagée.

  • Café soutien hebdomadaire : information, entraide, relais vers les services.
  • 🎨 Atelier créatif « Cœur et Esprit » : art, musique, écriture pour exprimer et relier.
  • 🏃 Sport adapté : séance rouge/orange/vert pour progresser sans pression.

Suivre et partager ces expériences donnent des leviers réplicables. Sur Infirmier Marseille, plusieurs dossiers éclairent le contexte, du sens de la santé mentale aux coopérations territoriales. Idée clé : un parcours clair, des relais de proximité, et une culture d’entraide posent les bases d’un Bien-Être Total à l’échelle de la cité.

Comment reconnaître un besoin d’aide sans minimiser ni dramatiser ?

Entre « ça va passer » et « tout est grave », l’équilibre n’est pas simple. L’objectif n’est pas de médicaliser chaque émotion, mais de repérer les signaux qui durent, s’intensifient, ou impactent la vie quotidienne. Un cadre simple, connu de tous (familles, profs, collègues), facilite les premiers pas, rassure et oriente vers le bon niveau d’aide.

Le repère des 3 D : Durée, Densité, Dommages

  • ⏱️ Durée : symptômes qui persistent au-delà de 2 à 3 semaines malgré les ajustements de rythme.
  • 🌪️ Densité : intensité qui augmente, pensées envahissantes, sommeil très altéré.
  • 🧩 Dommgages : perte d’autonomie, conflit répété, arrêt de travail, isolement marqué.

Si deux « D » sur trois sont présents, on contacte un professionnel sans attendre. Selon les régions, on peut passer par un CMP, le médecin traitant, ou une équipe mobile. Pour organiser l’accès, les pages publiques de l’ARS et la HAS 2025‑2030 offrent des repères et documents utiles.

Micro-actions pour accompagner un proche

  • 📅 Planifier un rendez-vous ensemble ; proposer d’attendre à proximité s’il le souhaite.
  • 🧭 Nommer trois signes concrets observés, sans jugement ni interprétation.
  • 🧘 Ritualiser une marche « Pleins Sens » après le travail pour relâcher la pression.
  • 📲 Canaliser les écrans le soir ; activer un mode « focus » avec Mindance pour des pauses.

Pour un récapitulatif simple des contextes et controverses, nos dossiers « santé mentale des hommes » et « débats et décisions publiques » permettent d’ajuster le regard. Idée clé : rester au plus proche du vécu, poser des mots simples, et soutenir sans envahir installe une relation qui aide vraiment.

Comment savoir si une politique « au-delà des soins » fonctionne ?

Un bon plan se voit dans la vie réelle : moins de ruptures, plus de liens, et des personnes qui reprennent leur place. L’évaluation doit combiner indicateurs de service et marqueurs de rétablissement. Les orientations internationales, comme la guidance OMS 2025, proposent des axes concrets : droits, participation, accessibilité, alternatives à l’hospitalisation.

Marqueurs utiles et faciles à suivre

  • Délais d’accès : 1er rendez-vous < 10 jours, suivi post-crise systématique.
  • 🏘️ Stabilité de vie : logement stable à 6 mois, retour progressif à l’emploi ou en formation.
  • 🧑‍🤝‍🧑 Réseau : participation à une activité sociale (chorale « Résonance », sport, atelier).
  • 🗣️ Expérience usagers : sentiment d’écoute, respect des droits, rôle actif dans les choix.
  • 💡 Auto-gestion : carnet de crise, routine « Vitalité Intérieure », techniques de respiration.

Pour les décideurs, publier un tableau de bord ouvert et compréhensible par tous permet d’aligner les efforts. Les repères de la HAS, les analyses de la Fondation Jean‑Jaurès, et les éclairages de Santé Mondiale aident à sélectionner des indicateurs pertinents.

  • 📣 Transparence : diffuser les données localement, y compris dans les maisons de quartier.
  • 🧪 Apprendre des tests : étendre ce qui marche, arrêter ce qui ne marche pas, réinvestir vite.
  • 🤲 Participation : intégrer usagers et aidants dès la conception des politiques.

Les politiques gagnent ainsi en crédibilité et en impact. Idée clé : mesurer ce qui compte pour la vie des personnes — pas seulement ce qui est facile à compter — est la signature d’une politique réussie.

Comment démarrer quand on se sent dépassé par l’ampleur du sujet ?

Commencer petit, mais tout de suite. Là où l’on a prise : une classe, une équipe, un quartier, un service. L’objectif est d’installer des routines supportives et de repérer tôt. Les ressources nationales et locales sont là pour guider, et un premier pas bien posé déclenche souvent une dynamique durable.

Feuille de route en 30 jours

  • 📍 Jours 1‑7 : cartographier les ressources (CMP, associations, sport-santé), lister 3 besoins majeurs.
  • 🧭 Jours 8‑14 : choisir 2 actions rapides (ex. micro-pauses Mindance, marche « Pleins Sens »).
  • 🧑‍🤝‍🧑 Jours 15‑21 : former un binôme de relais et programmer un atelier « Harmonie Psychique ».
  • 📊 Jours 22‑30 : choisir 3 indicateurs (délai accès, satisfaction, participation) et partager.

Des ressources pour accompagner cette phase existent : politiques ARS, feuille de route nationale, et repères de la HAS 2025‑2030. Pour suivre les débats et ajuster le tir, voir la tribune du collectif 2025.

Rappel à garder en tête : la santé mentale nous concerne tous, tout le temps. Un petit pas, répété, crée une grande différence.

Comment reconnaître une « politique de santé mentale qui va au-delà des soins indispensables » ?

Une politique « au-delà des soins » agit de façon transversale : école, emploi, logement, culture, justice, numérique. Elle finance la prévention, protège les droits, intègre les pairs-aidants, et mesure le rétablissement (logement, emploi, liens sociaux), pas seulement les actes médicaux. Elle installe une Sereinité opérationnelle pour les équipes et une Harmonie Psychique tangible pour les personnes.

Quelles ressources fiables consulter pour s’orienter en 2025 ?

Pour des repères solides : la HAS 2025‑2030, la stratégie nationale, les orientations OMS 2025, et des analyses comme les dix mesures de la Fondation Jean‑Jaurès. Côté terrain, Infirmier Marseille propose des dossiers pratiques et des retours d’expériences locales.

Quels petits gestes quotidiens ont le meilleur rapport effort/bénéfice ?

Trois habitudes simples : 1) trois micro-pauses « Vitalité Intérieure » chaque jour ; 2) une marche « Pleins Sens » de 20 minutes ; 3) un binôme de Soutien Mental pour se relancer. Ajoutez un rituel de clôture sans écran le soir : sommeil et Équilibre Mental s’améliorent souvent en une semaine.

Le numérique peut-il aider sans tout compliquer ?

Oui, s’il reste au service des personnes. Utiliser Mindance pour rythmer les pauses, des agendas partagés pour le suivi post-crise, et limiter les notifications le soir. Un principe d’or : la technologie doit simplifier la vie et soutenir le rétablissement, pas créer une charge mentale supplémentaire.

Source: www.lemonde.fr

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27 réflexions sur “Des politiques de santé mentale qui vont au-delà des soins indispensables”

  1. Thérèse Delacroix

    Sarah, ton article invite vraiment à voir la santé mentale comme une œuvre à modeler chaque jour.

  2. Eléa Vasseur

    Sarah, j’aime beaucoup votre approche sur la prévention au-delà du soin, surtout l’ancrage local concret.

  3. Thérèse Delacroix

    Sarah, ton article éclaire magnifiquement l’importance du quotidien pour la santé mentale. Inspirant, merci.

  4. Clara Dubois

    Merci pour toutes ces idées concrètes, c’est rassurant pour les familles et facile à appliquer au quotidien.

  5. Élodie Durand

    Sarah, article super clair ! J’aime l’accent sur le quotidien et les leviers concrets, merci.

  6. Isaline Beaulieu

    J’adore le concept de “villes apaisées”, ça donne envie de danser sous la pluie à Oslo !

  7. Élodie Durand

    Sarah, ton article pousse vraiment à réfléchir sur l’impact du social sur la santé mentale. Merci !

  8. Benoît Durand

    Excellent article, très concret ! J’aime beaucoup les exemples pour relier santé mentale et vie quotidienne.

  9. Élodie Durand

    Sarah, merci pour cet éclairage sur l’impact du social dans la santé mentale. Article inspirant !

  10. Thérèse Delacroix

    Sarah, ton article m’inspire vraiment, surtout sur l’équilibre entre soin, art et quotidien.

  11. Thérèse Delacroix

    Sarah, ton approche touche en plein cœur le quotidien et inspire à réinventer nos habitudes.

  12. Arielle Delivre

    Une pincée d’humour et trois gestes simples au quotidien, voilà une recette que j’adopte !

  13. Isaline Beaulieu

    Bravo pour l’approche concrète ! Ça donne presque envie de faire une pause ‘Pleins Sens’ en traduisant.

  14. Lysan Venturi

    Sarah, votre article éclaire les liens subtils entre soin, société et harmonie quotidienne. Merci !

  15. Estelle Dupin

    Sarah, j’adore ta vision concrète ! Les micro-pauses, ça change tout au boulot, testé et approuvé.

  16. Eléa Vasseur

    Super intéressant d’aller au-delà des soins classiques pour vraiment agir sur la santé mentale !

  17. Estelle Dupin

    Sarah, ton article donne vraiment envie de passer à l’action, j’adore l’approche concrète et positive !

  18. Estelle Dupin

    Sarah, ton article donne vraiment des pistes concrètes pour agir au quotidien. Merci, c’est inspirant !

  19. Estelle Dupin

    Sarah, j’adore votre approche concrète et globale de la santé mentale, bravo pour ces pistes inspirantes !

  20. Isaline Beaulieu

    Super intéressant ! J’ai adoré les exemples concrets, surtout la marche « Pleins Sens ». Merci !

  21. Estelle Dupin

    Sarah, j’ai adoré ton approche pratico-pratique, ça donne vraiment envie de tester ces micro-pauses !

  22. Clara Dubois

    Merci pour ces conseils concrets, on sent que la prévention fait vraiment la différence au quotidien.

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