One Health : l’approche intĂ©grĂ©e pour une santĂ© unique

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Penser la santĂ© de façon globale n’est plus une option. L’approche One Health relie ce qui, dans la vraie vie, ne se sĂ©pare pas : humains, animaux et Ă©cosystĂšmes qui partagent les mĂȘmes risques
 et les mĂȘmes solutions.

Peu de temps ? VoilĂ  ce qu’il faut retenir : ⏱
✅ One Health = santĂ© humaine, animale et environnementale indissociables 🌍
✅ Appuyer ses choix sur des sources fiables : OMS 🌐, ANSES đŸ§Ș, INRAE đŸŒ±
✅ Des gestes concrets : prĂ©vention des zoonoses, lutte anti-tiques, bon usage des antibiotiques, alimentation durable đŸ’ŠđŸ„Š
✅ Penser local et en rĂ©seau : ARS PACA đŸ€, vĂ©tĂ©rinaires, collectivitĂ©s, associations, citoyens
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One Health : bénéfices concrets et preuves de terrain pour une santé unique

One Health n’est pas un slogan, c’est une mĂ©thode pour rĂ©soudre des problĂšmes trĂšs concrets. Elle reconnaĂźt que notre bien-ĂȘtre dĂ©pend directement de l’état des animaux et des Ă©cosystĂšmes. Cette vision s’impose avec la multiplication des zoonoses et des perturbations environnementales.

La Covid-19 a montrĂ© le coĂ»t des crises sanitaires globales. Aborder la prĂ©vention Ă  l’échelle des interactions homme-animal-environnement aide Ă  rĂ©duire l’ampleur des chocs et Ă  accĂ©lĂ©rer la rĂ©ponse. C’est la promesse raisonnable de One Health : limiter les risques en agissant en amont.

Des organismes de rĂ©fĂ©rence soutiennent cette approche. L’OMS, la FAO, l’OIE (Organisation mondiale de la santĂ© animale), l’ANSES, l’INSERM, l’Institut Pasteur, le CIRAD, l’IRD (Institut de recherche pour le dĂ©veloppement) et l’INRAE s’y investissent. La dĂ©finition internationale a gagnĂ© en prĂ©cision : il s’agit d’une approche intĂ©grĂ©e, intersectorielle, soutenue par la donnĂ©e et le terrain.

Des exemples qui parlent : tiques, chlordĂ©cone, antibiorĂ©sistance

Les tiques sont un vecteur majeur de maladies chez l’animal et un vecteur important chez l’humain. Étudier le continuum faune sauvage – animaux domestiques – humains permet d’adapter la prĂ©vention : rĂ©amĂ©nager les espaces verts, informer les promeneurs, surveiller les rĂ©servoirs animaux et proposer des gestes de protection simples.

La chlordĂ©cone, insecticide ancien, illustre une pollution durable des sols, de l’eau et des animaux, avec un impact direct sur la santĂ© humaine via l’alimentation. One Health conduit Ă  agir sur toute la chaĂźne : surveillance environnementale, adaptation des pratiques agricoles, information des consommateurs et suivi sanitaire.

L’antibiorĂ©sistance rĂ©sulte de l’usage d’antibiotiques chez l’humain et l’animal. Les rĂ©sistances se transmettent via l’environnement et l’alimentation. La prĂ©vention passe par l’antibiothĂ©rapie raisonnĂ©e, des alternatives (vaccination, biocontrĂŽle), des filiĂšres d’élevage rĂ©organisĂ©es et une surveillance intĂ©grĂ©e.

  • 🧭 Penser systĂšme : animaux, humains, Ă©cosystĂšmes et aliments forment une seule chaĂźne.
  • đŸ›Ąïž PrivilĂ©gier la prĂ©vention : limiter les expositions plutĂŽt que subir les consĂ©quences.
  • 📊 Mesurer pour agir : donnĂ©es partagĂ©es entre santĂ© humaine, vĂ©tĂ©rinaire et environnement.
  • đŸ€ Travailler en rĂ©seau : soignants, vĂ©tĂ©rinaires, Ă©cologues, collectivitĂ©s, citoyens.

Des initiatives structurantes appuient cette dynamique : PREZODE pour prĂ©venir les pandĂ©mies zoonotiques, One Health Initiative pour fĂ©dĂ©rer les disciplines, ou encore EcoHealth Alliance pour l’anticipation des risques Ă©mergents. Le mot d’ordre : coopĂ©rer et documenter, pour des dĂ©cisions solides.

En filigrane, une simple idĂ©e : protĂ©ger les Ă©cosystĂšmes, c’est aussi protĂ©ger ses proches. C’est lĂ  tout le sens de la « santĂ© unique ».

One Health Ă  l’échelle locale (Marseille & territoires) : gestes simples et rĂ©seaux utiles

L’approche One Health se vit au quotidien. Sur un territoire comme Marseille, le croisement ville-mer-calanques concentre des enjeux : biodiversitĂ©, activitĂ©s humaines, prĂ©caritĂ©s et mobilitĂ©s. Agir localement, c’est rendre One Health tangible pour les habitants et les soignants.

L’ARS PACA encourage l’intersectorialité : santĂ© humaine, vĂ©tĂ©rinaire, environnement, Ă©lus, associations. Son portail Une Seule SantĂ© facilite l’accĂšs aux ressources. Cette coordination appuie les initiatives de terrain, des cabinets infirmiers aux services municipaux.

Les centres de santĂ© et structures pluridisciplinaires sont des points d’appui concrets. Les retours d’expĂ©rience, mĂȘme hors rĂ©gion, aident Ă  s’inspirer et Ă  adapter : l’exemple du centre de santĂ© de Saint-Omer rappelle l’intĂ©rĂȘt de l’organisation collective, de la prĂ©vention et du lien avec le social.

Des gestes qui comptent dans la vraie vie

Les bonnes pratiques ne demandent pas un arsenal technique. Elles exigent de la rĂ©gularitĂ© et du bon sens, ancrĂ©s dans la connaissance du territoire : parcs urbains, collines, littoral, zones d’élevage en pĂ©riphĂ©rie, ports et marchĂ©s.

  • 🩟 Anti-tiques malin : couvrir les jambes en garrigue, inspection au retour, retirer la tique avec un crochet, surveiller la peau 30 jours.
  • đŸŸ Animaux de compagnie : vaccination Ă  jour, vermifugation, rĂšgles d’hygiĂšne simples avec les enfants.
  • 🚰 Eau et baignade : se fier aux avis municipaux, doucher les enfants aprĂšs plage, Ă©viter les eaux stagnantes aprĂšs fortes pluies.
  • 💊 Antibiotiques avec parcimonie : suivre l’ordonnance, jamais d’automĂ©dication, rapporter les restes en pharmacie.
  • đŸ„Š Assiette protectrice : plus de protĂ©ines vĂ©gĂ©tales, produits bruts, lecture du Nutri-Score.

Les professionnels du soin demandent des repĂšres clairs. Des articles comme professionnels de santĂ© et SĂ©curitĂ© sociale ou politiques de santĂ© mentale Ă©clairent les cadres d’action et la coopĂ©ration interprofessionnelle. La dimension psychosociale est essentielle pour l’adhĂ©sion aux gestes prĂ©ventifs.

Des outils aident Ă  cadrer et partager : check-lists de cabinet, affiches pour les familles, recueil des tiques en consultation, signalements Ă  la mairie pour les gĂźtes larvaires, relais avec les vĂ©tĂ©rinaires. L’objectif n’est pas la perfection, mais la constance.

Enfin, se former ensemble change la donne. L’UniversitĂ© d’étĂ© francophone et les parcours de formation One Health donnent des clĂ©s pratiques pour passer du concept aux protocoles de terrain. C’est lĂ  que naissent les routines utiles.

Avec un cap simple — protĂ©ger l’humain en respectant l’animal et le milieu —, chaque service, chaque famille peut faire sa part.

PrĂ©venir zoonoses et antibiorĂ©sistance : plans d’action One Health Ă©prouvĂ©s

Les zoonoses et l’antibiorĂ©sistance rĂ©sument le cƓur de One Health : une cause multi-facteurs, une rĂ©ponse multi-niveaux. Il faut combiner surveillance, prĂ©vention comportementale, mĂ©decine et environnement.

Les institutions s’alignent : Institut Pasteur et INSERM pour la recherche biomĂ©dicale, ANSES pour l’expertise sanitaire, CIRAD pour les systĂšmes agro-pastoraux, FAO et OIE (Organisation mondiale de la santĂ© animale) pour la coordination internationale, EcoHealth Alliance pour l’analyse des risques, IRD pour les terrains du Sud. Cette synergie Ă©vite les angles morts.

AntibiorĂ©sistance : des leviers au quotidien

RĂ©duire les prescriptions inutiles ne suffit pas : il faut s’attaquer aux contextes qui favorisent l’infection et la transmission. HygiĂšne, vaccination, qualitĂ© de l’eau et de la ventilation limitent le recours aux antibiotiques. En Ă©levage, la prĂ©vention et la biosĂ©curitĂ© diminuent l’usage des traitements.

  1. đŸ§Œ HygiĂšne des mains et surfaces : en maison, en Ă©cole, au cabinet.
  2. 💉 Vaccination : humains et animaux, selon recommandations locales.
  3. đŸ„ Protocoles de soins : diagnostic ciblĂ©, antibiotiques adaptĂ©s, durĂ©e juste.
  4. 🐄 Élevage : densitĂ©s raisonnables, bien-ĂȘtre animal, alimentation et logement soignĂ©s.
  5. 🚼 Pharmaceutiques : collecte des restes, pas de rejet dans l’évier.

Zoom sur les zoonoses fréquentes

La maladie de Lyme demande un trio prĂ©vention-diagnostic-suivi. Les leptospiroses posent la question de l’eau et des rongeurs. Les cryptosporidioses touchent enfants et ruminants ; la recherche explore des stratĂ©gies combinant immunitĂ© de l’hĂŽte et blocage du parasite.

Au-delĂ  des pathogĂšnes, l’environnement compte. La dĂ©forestation, l’urbanisation mal maĂźtrisĂ©e et les “effets cocktails” de contaminants (pesticides, mycotoxines) favorisent des milieux propices aux agents opportunistes. Les travaux Ă©voquĂ©s par l’écologie gouvernementale renforcent la nĂ©cessitĂ© d’une veille Ă©cosystĂ©mique.

🎯 Axe🔧 Action concrĂšteđŸ€ Acteurs-clĂ©s
SurveillanceSignalements coordonnĂ©s, “sentinelles” eau/sol/fauneANSES, ARS, vĂ©tos, laboratoires đŸ§Ș
PrĂ©ventionVaccins, EPI, amĂ©nagements anti-tiquesCollectivitĂ©s, Ă©coles, associations đŸ«
Bon usage antibioGuides de prescription, audits, info patientsMĂ©decins, pharmaciens, Ă©leveurs 💬
EnvironnementContrĂŽle rejets, gestion dĂ©chets, qualitĂ© de l’eauMunicipalitĂ©s, agences de l’eau 🚰

Ce cadre s’appuie sur des preuves et s’adapte aux contextes. En le dĂ©ployant pas Ă  pas, les territoires gagnent en rĂ©silience face aux crises.

One Health dans l’assiette : alimentation, agriculture et Ă©cosystĂšmes alignĂ©s

L’assiette est un levier One Health puissant. Elle impacte la santĂ© des personnes, celle des animaux d’élevage et l’état des sols, de l’eau et de l’air. Repenser la chaĂźne “du champ Ă  la table” donne des gains cumulatifs.

Les travaux de l’INRAE soulignent l’intĂ©rĂȘt de systĂšmes agroĂ©cologiques testĂ©s en stations expĂ©rimentales : rĂ©duction des pesticides en vergers, Ă©levages bio Ă©conomes en intrants, plateformes grandes cultures basĂ©es sur la diversitĂ© et les interactions biologiques. Les rĂ©sultats sont concrets : moins d’intrants, qualitĂ© sanitaire mieux maĂźtrisĂ©e, biodiversitĂ© fonctionnelle renforcĂ©e.

La question des mycotoxines rappelle l’importance de surveiller les contaminants. Leur toxicitĂ© cumulĂ©e peut dĂ©passer la somme des toxiques pris isolĂ©ment. Sur la durĂ©e, une agriculture et une transformation plus sobres rĂ©duisent les expositions involontaires.

Des repĂšres alimentaires utiles, sans dogme

Un rĂ©gime sain, culturellement acceptable, accessible et Ă  impact environnemental rĂ©duit constitue la ligne de crĂȘte. Diversifier ses protĂ©ines en privilĂ©giant les sources vĂ©gĂ©tales et le poisson durable, cuisiner des produits bruts, et limiter l’ultra-transformĂ© sont des repĂšres solides. Le Nutri-Score aide Ă  comparer rapidement les produits.

  • đŸ„— Plus de vĂ©gĂ©tal : lĂ©gumineuses, cĂ©rĂ©ales complĂštes, fruits, lĂ©gumes.
  • 🐟 ProtĂ©ines diversifiĂ©es : poisson durable, Ɠufs, volailles, vĂ©gĂ©tal.
  • đŸ„› QualitĂ© d’élevage : pĂąturage, bien-ĂȘtre, traçabilitĂ©.
  • 🔍 Lire l’étiquette : Nutri-Score, sel/sucres/gras, additifs.
  • 🚰 HygiĂšne : lavage, chaĂźnes du froid, cuisson adaptĂ©e.

Les politiques publiques peuvent soutenir ces choix : information, fiscalitĂ© sur les boissons sucrĂ©es, accompagnement des filiĂšres, achats publics responsables. Les analyses de l’INRAE et de partenaires Ă©clairent ces leviers, tout comme les dossiers thĂ©matiques 2025 qui identifient des pistes rĂ©alistes pour une transition juste.

Pour les familles et aidants, l’enjeu est la simplicité : cuisiner un peu plus, planifier, choisir des marchĂ©s de confiance, demander conseil en pharmacie ou en cabinet infirmier. Du bon sens, de la rĂ©gularitĂ©, et des sources fiables pour ne pas s’égarer.

L’assiette devient alors un point d’équilibre entre plaisir, santĂ© et respect du vivant. C’est exactement l’esprit One Health.

One Health piloté par la donnée : veille, formation et outils qui font gagner du temps

Pour passer de l’intuition Ă  l’action, il faut des donnĂ©es, des compĂ©tences et des circuits courts de dĂ©cision. Le PNSE4 a mis en avant des outils de partage comme “Green Data for Health” pour amĂ©liorer l’accĂšs aux donnĂ©es environnementales utiles aux chercheurs et praticiens.

L’avis scientifique sur One Health prĂ©conise une surveillance intĂ©grĂ©e reliant santĂ© humaine, animale, alimentation et environnement. ConcrĂštement, cela signifie harmoniser les indicateurs, ouvrir des tableaux de bord, et relier laboratoires, vĂ©tĂ©rinaires, services hospitaliers et collectivitĂ©s.

Sur l’eau, des approches de biosurveillance avec des “sentinelles” comme les gammares ont fait leurs preuves pour repĂ©rer tĂŽt des pollutions. CouplĂ©es Ă  une information grand public et des plans d’action municipaux, elles raccourcissent le dĂ©lai entre alerte et rĂ©ponse.

Former et outiller les équipes

Formations interprofessionnelles, simulations et guides opĂ©rationnels accĂ©lĂšrent l’adoption. L’UniversitĂ© d’étĂ© “du concept Ă  la pratique” et les cursus en ligne facilitent l’acculturation. Les dĂ©bats autour des outils numĂ©riques en santĂ©, abordĂ©s par exemple dans mĂ©decin & IA gĂ©nĂ©rative, invitent Ă  garder le cap : l’outil aide, le jugement clinique dĂ©cide.

  • 📈 Indicateurs communs : syndromiques, vĂ©tĂ©rinaires, environnementaux.
  • đŸ–„ïž Tableaux de bord territoriaux : lisibles, partagĂ©s, mis Ă  jour.
  • đŸ§‘â€đŸ€â€đŸ§‘ CommunautĂ©s de pratique : soignants, vĂ©tos, Ă©cologues, Ă©lus.
  • 📚 Formation continue : modules One Health, retours d’expĂ©rience.
  • đŸ› ïž ProcĂ©dures standards : alerte, investigation, communication.

La clĂ© n’est pas la sophistication, mais la coordination. Des ressources comme l’ANSES et l’OMS outillent les territoires pour choisir des seuils, standardiser des prĂ©lĂšvements et dĂ©clencher des mesures proportionnĂ©es.

En pratique, une “petite” action aujourd’hui vaut mieux qu’une grande rĂ©forme demain : afficher les bons gestes dans la salle d’attente, standardiser le retrait des tiques, lancer un suivi local des piqĂ»res, tenir un registre commun de signalements. À force de petits pas, la culture One Health s’ancre durablement.

Action simple Ă  faire dĂšs aujourd’hui : choisir un geste One Health (anti-tiques, bon usage d’antibiotiques, lecture du Nutri-Score) et l’appliquer pendant 30 jours. L’habitude crĂ©e la protection 🧡.

One Health, c’est quoi exactement ?

Une approche intégrée qui optimise la santé des humains, des animaux et des écosystÚmes en les considérant comme un systÚme unique. Elle regroupe prévention, surveillance, recherche, politiques publiques et gestes du quotidien, avec des acteurs qui coopÚrent au lieu de travailler en silos.

Qui sont les acteurs de référence à suivre ?

OMS, FAO, OIE (Organisation mondiale de la santĂ© animale), ANSES, INSERM, Institut Pasteur, CIRAD, INRAE, IRD, EcoHealth Alliance, et la One Health Initiative. Pour des ressources locales : ARS PACA.

Quels gestes prioritaires pour une famille avec enfants et animaux ?

Anti-tiques aprĂšs balade, vaccination et vermifugation des animaux Ă  jour, lavage des mains avant repas, produits bruts Ă  la maison, antibiotiques uniquement sur prescription. Afficher une check-list sur le frigo aide Ă  tenir le cap.

Comment lutter contre l’antibiorĂ©sistance sans “tout changer” ?

Trois leviers : hygiĂšne rĂ©guliĂšre, vaccination selon les recommandations, et antibiotiques “juste dose, juste durĂ©e”. En Ă©levage : bien-ĂȘtre animal, biosĂ©curitĂ©, suivi vĂ©tĂ©rinaire. Des fiches simples de cabinet et des rappels SMS aux patients aident Ă  l’observance.

OĂč trouver des informations claires et fiables ?

Fiches de l’OMS, dossiers de l’ANSES, synthĂšses de l’INRAE, repĂšres territoriaux de l’ARS PACA. Pour un angle terrain et pratique : articles d’Infirmier Marseille comme alcool & santĂ© ou santĂ© cognitive des personnes ĂągĂ©es.

Pour aller plus loin, consulter aussi : dossier “One Health” du MinistĂšre et contribution du Conseil scientifique pour des cadres d’action Ă©prouvĂ©s.

Source: www.inrae.fr

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